Cours donnés de 2003 à 2005 (ancienne maquette)
Responsable de l’U.E. obligatoire Méthodes d’investigation sociologique (Licence, 2001-2004). Cours magistral de licence de sociologie et d’économie (et Centre de Télé-Enseignement Universitaire)
: méthodes d’investigation qualitatives et quantitatives (cf. le poly dans "téléchargements").
Resp. de l’U.E. Sociologie de la modernisation et du développement (Maîtrise, jusqu’en 2004).
Resp. du séminaire Développement urbain et développement humain (depuis 2000) au DESS / Master professionnel « Ingénierie et Expertise des Politiques Sociales Locales », IUP de Caen.
Séminaire Risques et vulnérabilité, DEA « Sociologie, innovation et risque », puis Master « Risques et vulnérabilités sociales » (depuis 2000).
Co-responsable d’un séminaire de Méthodologies qualitatives pour l’Ecole doctorale « Littérature, culture et sciences sociales » (jusqu’en 2005). Thèmes de mes interventions :
La connaissance en sciences sociohumaines : l’épistémologie du point de vue de la socio-anthropologie.
Qualité / quantité. Fiabilité et valeur de généralisation des protocoles et des données qualitatifs.
La question du temps dans les approches qualitatives et en socio-anthropologie : dimensions statiques et dynamiques, synchronie/diachronie, récits de vie.
Unité et diversité de l’approche monographique : études de cas, monographies urbaines, professionnelles, familiales, thématiques…
Action de recherche et recherche-action : implication et dégagement du chercheur.
Depuis 2005 (nouvelle maquette LMD)
Outre les séminaires de DEA et de DESS qui continuent en version Master recherche et Master professionnel, les nouveaux cours sont les suivants :
Responsabilité du CM « Socio-anthropologie urbaine », deuxième année de Licence.
Après avoir évoqué les invariants socio-anthropologiques de la ville et les premières formes d’urbanisation, le cours introduit aux théories constitutives de la sociologie urbaine en insistant sur la comparaison Amérique - Europe et sans oublier les utopies ou les mouvements contestataires. Il aborde ensuite le développement urbain, les phénomènes de ségrégation, de différenciation et de marquage symbolique des espaces, du point de vue tant du système socio-économique et du zonage que de la vie quotidienne et des pratiques d’appropriation ou de déplacement entre les territoires. Il analyse les questions du cadre de vie et de la proximité en relation avec le thème des sociabilités informelles et associatives.
Création et responsabilité de l’enseignement « Stratification et mobilité sociales ; aspects dynamiques » (cours magistral obligatoire, deuxième année de Licence).
Ce cours envisage les inégalités sociales à partir de l’idée de stratification considérée comme un processus. Il situe les principaux concepts d’analyse de la stratification et de la mobilité sociales (conditions, ordres, castes, classes, strates, ascension / descension, homo / hétérogamie, etc.) tant dans l’histoire de la pensée que dans l’histoire des sociétés. Sont surtout traités : les différents types de structure sociale et les tendances profondes, ainsi que les mouvements sociaux, à la source des dynamiques structurelles, les relations entre mobilité structurelle et mobilité des personnes, les effets sur trois générations (trajectoire continue ou contre-mobilité), les différences hommes / femmes en matière de position sociale et de dynamique positionnelle, etc.
Création et responsabilité de l’enseignement « Socio-anthropologie de la vie quotidienne », troisième année de Licence (optionnel).
L’objectif principal de cet enseignement est de montrer que les usages ordinaires sont à la fois socialement contraints dans leur orientation, déterminés dans leurs conditions de réalisation et partiellement choisis par les personnes. Le cours présente d’abord les principaux apports conceptuels des précurseurs et des fondateurs du champ de la « Socio-anthropologie de la vie quotidienne ». Il sensibilise ensuite aux enjeux concrets de cette sociologie qui articule les aspects personnels de la vie (famille, amis, voisinage, activités de déplacement, de consommation et de loisirs) et les aspects les plus institutionnels ou « morpho-structurels » : temps sociaux, modèles culturels et valeurs, d’un côté, formes urbaines et contraintes positionnelles, de l’autre. Il aborde enfin les routines de la quotidienneté et ses « au-delà » imaginaires, y compris les projets porteurs d’innovation.
Création et co-responsabilité (avec D. Le Gall) du séminaire de Master 1 « Les sociabilités ».
La première partie (S. Juan) traite des questions de champ, d’enjeux et des relations entre les différentes formes de sociabilité. Elle présente la sociabilité comme notion et comme fait à travers quelques jalons théoriques puis examine les sphères principales de la sociabilité : marchande, familiale, amicale, de voisinage, associative, professionnelle, de même que les implications du concept de capital social. Le cours aborde ensuite les relations entre sociabilité et vulnérabilité, la crise de confiance, la désociabilité relative et l’isolement. Enfin, il introduit aux fonctions de la sociabilité associative en France.
Création et responsabilité du séminaire « Méthodologie de la recherche » (master 2, depuis 2008).
Le champ des méthodes et des techniques de recherche. Fiabilité, valeur scientifique des protocoles et des données (les spécificités du qualitatif / du quantitatif, plans d’observation / expérimentation, échantillonnage, guides et grilles, valeur de généralisation des résultats). Temps et processus (traces institutionnelles, temps et processus, biographies personnelles et les histoires de vie, articulation des temporalités sociales et personnelles). Les monographies. Typologies et catégorisations.
Séminaire obligatoire Risques et vulnérabilité, Master « Changements institutionnels, risques et vulnérabilités sociales ». Thématiques abordées depuis 2005 :
* 2006-2007 : La sociologie des risques et des vulnérabilités. La vulnérabilité existentielle et la confiance ; approche socio-anthropologique.
* 2007-2008 : Sociologie du risque, anthropologie de la vulnérabilité. Institutions et cohésion / décohésion sociale.
* 2008-2009 : L’actionnalisme institutionnaliste face aux risques.
* 2012-2017, Création et responsabilité de l’enseignement Inégalités et conflits, Séminaire de Master 1 « Changements institutionnels, risques et vulnérabilités
sociales ».
* Depuis 2017, séminaire de Master 1 "Les normes sociales".
* Depuis 2017, séminaire de Master 2 "Classe dirigeante et pouvoir".
Responsable de l’U.E. obligatoire Méthodes d’investigation sociologique (Licence, 2001-2004). Cours magistral de licence de sociologie et d’économie (et Centre de Télé-Enseignement Universitaire)Retour ligne automatique
: méthodes d’investigation qualitatives et quantitatives (cf. le poly dans "téléchargements").
Resp. de l’U.E. Sociologie de la modernisation et du développement (Maîtrise, jusqu’en 2004).
Resp. du séminaire Développement urbain et développement humain (depuis 2000) au DESS / Master professionnel « Ingénierie et Expertise des Politiques Sociales Locales », IUP de Caen.
Séminaire Risques et vulnérabilité, DEA « Sociologie, innovation et risque », puis Master « Risques et vulnérabilités sociales » (depuis 2000).
Co-responsable d’un séminaire de Méthodologies qualitatives pour l’Ecole doctorale « Littérature, culture et sciences sociales » (jusqu’en 2005). Thèmes de mes interventions :
La connaissance en sciences sociohumaines : l’épistémologie du point de vue de la socio-anthropologie.Retour ligne automatique
Qualité / quantité. Fiabilité et valeur de généralisation des protocoles et des données qualitatifs.Retour ligne automatique
La question du temps dans les approches qualitatives et en socio-anthropologie : dimensions statiques et dynamiques, synchronie/diachronie, récits de vie.Retour ligne automatique
Unité et diversité de l’approche monographique : études de cas, monographies urbaines, professionnelles, familiales, thématiques…Retour ligne automatique
Action de recherche et recherche-action : implication et dégagement du chercheur.
Outre les séminaires de DEA et de DESS qui continuent en version Master recherche et Master professionnel, les nouveaux cours sont les suivants :
Responsabilité du CM « Socio-anthropologie urbaine », deuxième année de Licence.
Après avoir évoqué les invariants socio-anthropologiques de la ville et les premières formes d’urbanisation, le cours introduit aux théories constitutives de la sociologie urbaine en insistant sur la comparaison Amérique - Europe et sans oublier les utopies ou les mouvements contestataires. Il aborde ensuite le développement urbain, les phénomènes de ségrégation, de différenciation et de marquage symbolique des espaces, du point de vue tant du système socio-économique et du zonage que de la vie quotidienne et des pratiques d’appropriation ou de déplacement entre les territoires. Il analyse les questions du cadre de vie et de la proximité en relation avec le thème des sociabilités informelles et associatives.
Création et responsabilité de l’enseignement « Stratification et mobilité sociales ; aspects dynamiques » (cours magistral obligatoire, deuxième année de Licence).
Ce cours envisage les inégalités sociales à partir de l’idée de stratification considérée comme un processus. Il situe les principaux concepts d’analyse de la stratification et de la mobilité sociales (conditions, ordres, castes, classes, strates, ascension / descension, homo / hétérogamie, etc.) tant dans l’histoire de la pensée que dans l’histoire des sociétés. Sont surtout traités : les différents types de structure sociale et les tendances profondes, ainsi que les mouvements sociaux, à la source des dynamiques structurelles, les relations entre mobilité structurelle et mobilité des personnes, les effets sur trois générations (trajectoire continue ou contre-mobilité), les différences hommes / femmes en matière de position sociale et de dynamique positionnelle, etc.
Création et responsabilité de l’enseignement « Socio-anthropologie de la vie quotidienne », troisième année de Licence (optionnel).
L’objectif principal de cet enseignement est de montrer que les usages ordinaires sont à la fois socialement contraints dans leur orientation, déterminés dans leurs conditions de réalisation et partiellement choisis par les personnes. Le cours présente d’abord les principaux apports conceptuels des précurseurs et des fondateurs du champ de la « Socio-anthropologie de la vie quotidienne ». Il sensibilise ensuite aux enjeux concrets de cette sociologie qui articule les aspects personnels de la vie (famille, amis, voisinage, activités de déplacement, de consommation et de loisirs) et les aspects les plus institutionnels ou « morpho-structurels » : temps sociaux, modèles culturels et valeurs, d’un côté, formes urbaines et contraintes positionnelles, de l’autre. Il aborde enfin les routines de la quotidienneté et ses « au-delà » imaginaires, y compris les projets porteurs d’innovation.
Création et co-responsabilité (avec D. Le Gall) du séminaire de Master 1 « Les sociabilités ».
La première partie (S. Juan) traite des questions de champ, d’enjeux et des relations entre les différentes formes de sociabilité. Elle présente la sociabilité comme notion et comme fait à travers quelques jalons théoriques puis examine les sphères principales de la sociabilité : marchande, familiale, amicale, de voisinage, associative, professionnelle, de même que les implications du concept de capital social. Le cours aborde ensuite les relations entre sociabilité et vulnérabilité, la crise de confiance, la désociabilité relative et l’isolement. Enfin, il introduit aux fonctions de la sociabilité associative en France.
Création et responsabilité du séminaire « Méthodologie de la recherche » (master 2, depuis 2008).
Le champ des méthodes et des techniques de recherche. Fiabilité, valeur scientifique des protocoles et des données (les spécificités du qualitatif / du quantitatif, plans d’observation / expérimentation, échantillonnage, guides et grilles, valeur de généralisation des résultats). Temps et processus (traces institutionnelles, temps et processus, biographies personnelles et les histoires de vie, articulation des temporalités sociales et personnelles). Les monographies. Typologies et catégorisations.
Séminaire obligatoire Risques et vulnérabilité, Master « Changements institutionnels, risques et vulnérabilités sociales ». Thématiques abordées depuis 2005 :
* 2006-2007 : La sociologie des risques et des vulnérabilités. La vulnérabilité existentielle et la confiance ; approche socio-anthropologique.
* 2007-2008 : Sociologie du risque, anthropologie de la vulnérabilité. Institutions et cohésion / décohésion sociale.
* 2008-2009 : L’actionnalisme institutionnaliste face aux risques.
* Création et responsabilité de l’enseignement Inégalités et conflits, Séminaire de Master 1 « Changements institutionnels, risques et vulnérabilités sociales ».
Après avoir rappelé les rudiments de la sociologie des inégalités relevant la stratification sociale, ainsi que de la sociologie de l’action et des conflits, le cours-séminaire traite de l’interprétation sociologique des problèmes écologiques à partir des controverses et positions éthiques sur les relations environnement et société (crise capitaliste, économie verte et indicateurs socio-environnementaux, développement durable / décroissance, enjeux socioécologiques de l’économie solidaire).
* Séminaire obligatoire Risques et vulnérabilité, Master « Changements institutionnels, risques et vulnérabilités sociales ». Thématiques abordées depuis 2005 :
2006-2007 : La vulnérabilité existentielle et la confiance ; approche socio-anthropologique.
2007-2008 : Institutions et cohésion / décohésion sociale.
2008-2009 : L’actionnalisme institutionnaliste face aux risques.
2009-2010 : Risques, changements naturels et institutionnels.
2010-2012 : Problèmes et controverses socioécologiques. Les obstacles sociaux à la transition écologique.
2012-2013 : Institutions et changement social ; La cohésion sociale et le changement socioculturel.
* Depuis 2017, Cours magistral de licence1 : "Auteurs et théories : la sociologie française de sa naissance aux années 1950".
* Depuis 2017, Cours magistral de licence 3 : "Anthropologie des sociétés contemporaines".
* Depuis 2017, séminaire de Master 1 : "Les normes sociales".
* Depuis 2017, séminaire de Master 2 : "Classe dirigeante et pouvoir".